When I was a child, I went to Marineland in Antibes, France. I loved this park: I saw real orcas for the first time and I have been passionate about these animals since that day. But those parks also have a darker side: animal abuse.
4 killer whales spend their whole lives in 5 pools filled with only 44 000 m3 of water. The main pool is 11m deep, 64m long and 32m wide. Wild orcas swim 160 km a day and dive until 100m deep. Those pools are clearly not appropriate.
In nature, orca’s life expectancy is 50 for females and 29 for males. Some females can even live more than a hundred years. In captivity, orca’s life expectancy is 29 for females and 19 for males. Since the park opened in 1970, 8 killer whales have died, and 3 of them have died less than 6 years after their arrival at the park. There is no need to precise that these deaths are almost always connected to the captivity and the mistreatment of the animals.
Several signs show the poor condition of the orcas. In captivity, almost every male have collapsed dorsal fins, which is unusual in nature (even if aquatic parks claim the contrary). Moreover, some whales show signs of aggressivity against other animals or trainers because of the training and the reduced space they live in.
One year ago, the park suffered a flood and several animals died, including a killer whale who didn’t survive the pollution of the pool. This is an other proof that orcas don’t belong to places like that.
In 2014, Marineland made a turnover of 37,3 millions euros (40 millions dollars) by abusing animals. Everybody can act against that, first step is to boycott those parks. Killer whales should be in a place more adapted to their lifestyle and then get released in nature. If you want to learn more about this, watch the documentary Blackfish by Gabriela Cowperthwaite.
Je suis allé au Marineland d’Antibes quand j’étais petit. J’ai adoré ce parc qui m’a permis de voir des orques en vrai pour la première fois, et de développer une passion pour ces animaux. Mais le côté joyeux de ces parcs cache un autre côté beaucoup plus sombre: le traitement que les animaux subissent.
4 orques vivent leurs vies entières dans un complexe de 5 bassins contenant à peine 44 000 m3 d’eau. Le bassin principal fait 11m de profondeur, 64m de longueur et 32m de largeur. Les orques sauvages parcourent en moyenne 160km par jour et plongent jusqu’à 100m de profondeur. Ces bassins ne sont clairement pas adaptés à leur mode de vie.
Dans la nature, les orques ont une espérance de vie de 50 ans pour les femelles et 29 ans pour les mâles. On estime leur durée de vie maximal de 60 ans pour les mâles et de plus de 100 ans pour les femelles. La moyenne d’âge des orques en captivité est de seulement 29 ans pour les femelles et 19 ans pour les mâles. Depuis l’ouverture du parc en 1970, 8 orques y sont décédées, dont 3 moins de 6 ans après avoir été transférés au parc. Inutiles de préciser que la cause des morts est presque tout le temps liée à la captivité et au mauvais traitement des animaux.
Plusieurs signes témoignent des mauvaises conditions des animaux. Les nageoires dorsales des mâles en captivité sont souvent recourbées, ce qui n’arrive que très peu fréquemment dans la nature (contrairement à ce qu’affirment les parcs aquatiques). De plus, certaines orques montrent des signes d’agressivité envers les autres animaux ou les dresseurs à cause des méthodes de dressage et de l’espace réduit dans lequel elles vivent.
Il y a un an, le parc a subit une inondation menant à la mort de plusieurs animaux dont une orque, qui n’a pas survécu à la pollution présente dans le bassin. C’est bien la preuve que ces animaux ne sont pas faits pour vivre en captivité.
En 2014, Marineland a généré un chiffre d’affaire de 37,3 millions d’euros en maltraitant des animaux. Tout le monde peut agir contre ça, et la première étape est tout simplement de boycotter ces parcs. Ces orques en captivité devraient être relâchées dans un endroit plus approprié à leur mode de vie afin qu’elles puisse s’adapter à la vie sauvage qu’elle soient relâchées dans la nature ensuite. Je vous invite à regarder le documentaire Blackfish de Gabriela Cowperthwaite pour en apprendre d’avantage.
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